A Agra, des enfants dans une briqueterie et un marché d’Udaipur. Deux petites huiles sur toile.
Chercher
Techniques
Sujets
Dates
A Agra, des enfants dans une briqueterie et un marché d’Udaipur. Deux petites huiles sur toile.
Des amies m’ont mise au défi de me « lâcher » un peu. J’ai innové avec cette acrylique. Pas sûr que je persévère malgré les encouragements!
Ces deux petites huiles sur toile (30cm/30cm) ne sont pas récentes, c’est dans le nord du Vietnam, près de Sapa où vivent les minorités. Elles font suite à ma série d’huiles sur le Laos déjà publiées. Depuis plus d’un an j’avais délaissé l’huile au profit de l’acrylique au séchage rapide. Avec l’acrylique, pas de temps d’attente pour revenir, corriger, ajouter, pas d’odeur (je peins dans le séjour). Je viens de me remettre à l’huile avec une série sur l’Inde du Nord… finalement, quel plaisir! Je ne saurais le décrire mais l’onctuosité, le contact du pinceau sur la toile apportent un autre ressenti…
Je n’ose dire que je passe du coq à l’âne, ce ne serait pas trés respectueux…mais bon, voici un sujet bien différent.
Une amie m’avait demandé une nativité pour la carte de voeux de leur association. Je leur ai proposé cette acrylique et une aquarelle , l’acrylique n’a pas fait l’unanimité …trop moderne ou trop « typée » je pense pour un milieu un peu traditionnaliste. C’est l’aquarelle plus classique qui a eu la préférence, dommage, je l’aimais bien celle ci.
Je ne pensais pas que les petits du XXIème siècle dansaient sur cette vieille chanson… mais si !
Encore une fois, ça n’était pas du tout une chanson enfantine, elle était même assez horrible si j’en crois ce que j’ai trouvé sur Google.
Au XVIIème siècle , Jean Petit prend la tête d’une révolte de pauvres gens, il est arrêté et torturé. On l’oblige à danser au fur et à mesure qu’on le mutile, on lui coupe 1 pied, le 2ème, les doigts, les mains… à la fin il ne lui reste plus de membres… « de son coeur il danse, ainsi danse Jean Petit »… brrr… je dois avouer que je n’entendrai plus jamais cette chanson de la même oreille. Laissons aux enfants leur innocence !