Voilà bien longtemps (trop longtemps peut-être) que je délaisse mon blog….je me suis laissé dévorer par 5 adorables bonnes raisons, une petite-fille, deux petits gars….. et deux bébés tout neufs!
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Archives de l’auteur : Luce
Relève assurée!
Eh oui, Maëlle va bientôt pouvoir collaborer à l’illustration des comptines…j’aurais dû lui demander conseil pour mes « crocos ».
Marché au Sri Lanka.
C’était la veille de notre retour en France. Comme toujours, le temps a passé trop vite.
Il fait très chaud à Bentota. On profite des bains dans une mer à 30°, un petit tour dans un marché couvert pour une dernière immersion dans les odeurs, les couleurs, l’atmosphère du pays. En fin de journée, dernière soirée avec Tilak qui nous invite à un apéritif local sur la terrasse de la chambre. On vide la bouteille d’arak allongé de jus de fruit ou coca … notre guide bouddhiste ne mange pas de viande, mais apprécie l’alcool! L’arak aidant, il nous fera passer un excellent moment avec un répertoire de chants traditionnels pendant le dîner, artiste imprévu, il s’est joint à un groupe de musiciens locaux pour notre plus grand plaisir.
L’empereur, sa femme et le p’tit prince.
Une vieille comptine du XIXème siècle.
C’est ainsi que j’imaginais la famille impériale quand j’étais enfant. L’empereur vient me « serrer la pince », quelle pince? Le facteur de notre village, amputé d’une main, portait un crochet, un énorme crochet en métal qui m’effrayait et me fascinait. Quand il fouillait dans sa sacoche pour en sortir notre courrier, cachée derrière ma mère, je ne le quittais pas des yeux. Dans la chanson, mieux qu’un crochet, une pince… encore mon imaginaire…
A la volette.
Encore une vieille chanson traditionnelle française. J’ai fait des recherches sur le net pour en connaître l’origine…en vain.
« Mon petit oiseau a pris sa volée… »
Quand j’étais enfant, j’ai longtemps cru que le pauvre oiseau avait pris une « raclée ». Faut-il laisser l’imaginaire des enfants s’égarer, quitte à les laisser imaginer le pire, ou faut-il tout expliquer? Finalement, je ne demandais pas d’explications puisque je croyais avoir compris.
