Le tilleul du Grand Cuddil

J’avais commencé par un exercice, une interprétation colorée du tilleul à Aouste et pendant tout le temps passé à travailler sur ce paysage, je n’avais qu’une envie….le peindre dans mon propre style. Si j’ai pris plus de plaisir dans la 2ème réalisation, je ne saurais dire maintenant lequel je préfère.

Le Pérou, Arequipa.

Avant de nous rendre à très haute altitude, avant des treks à 4000 m, nous visitons la région d’Arequipa à 2300 m. Je ne sais pas encore ce qui m’attend. Quelques jours plus tard,  les maux de tête et nausées au passage d’un col. Pourtant, j’avais bien mâché mes boulettes de feuilles de coca enroulées autour d’un petit bout de chaux comme nous l’avait appris notre guide.

Les Iles Uros.

Etrange impression quand on débarque sur l’îlot, le sol est souple, très souple sous nos pieds. On nous explique la fabrication à partir d’énormes blocs de ce qui ressemble à de la tourbe mêlée de paille. Il faut sans cesse l’entretenir. Le Titicaca est parfois agité, avec des vents violents, l’île est donc arrimée pour ne pas risquer de dériver.

Exercices

A l’acrylique sur papier toilé, deux exercices rapidement exécutés. J’avoue que sans le petit atelier associatif de l’ANFEM je me contenterais de mes carnets de voyages à l’aquarelle. Ces exercices m’obligent à faire autre chose, un paysage de neige, une mer agitée…

Le Pérou.

C’était notre destination 2015, presque 3 semaines en octobre pour visiter une partie du pays. Il a fallu faire un choix, Arequipa,…vallée de la Colca, Cusco et le Machu Picchu… Beaucoup de treks difficiles dans des conditions de haute montagne à 4000m. Malgré notre initiation à la chique de feuilles de coca censée nous faire supporter l’altitude, je dois avouer que j’ai eu une rude journée dans la vallée de la Colca, nausées, maux de tête.

Incontournable la visite des Iles Uros sur le Titicaca…mais si le site est à la hauteur de nos attentes, notre rencontre avec les « locaux » nous a bien déçus. Notre style de voyage en individuel nous a habitués à de l’authenticité et là, nous sommes accueillis sur le tout petit îlot flottant par une haie de femmes souriantes qui nous attendent de pied ferme. Ces « îliens »n’habitent pas sur le lac, ils ne sont là que pour les touristes, pour vendre leurs objets artisanaux.